MA SAISON SUPER 8 * MY SUPER 8 SEASON un film d'Alessandro Avellis * a film by Alessandro Avellis

mercoledì 17 ottobre 2007

Revue de Presse / Press Release


LIBERATION, Festival. Le cinéma gay et lesbien entame sa onzième édition. Encore plus de culte, Elisabeth Lebovici et Gérard Lefort, october 2005
« Après plusieurs éditions discutables pour cause de films médiocres, le Festival de films gays et lesbiens de Paris reprend du poil de la chatte (…) Cette année, le programme paraît, vu d'avion, encore plus alléchant: d'abord, honneur au culte avec l'historique les Lèvres rouges et Delphine Seyrig en vampire gouine (Harry Kummel, 1971), un film en forme d'encouragement qui fit virer moult cutis. Nettement plus d'actu, Ma saison super 8 d'Alessandro Avellis, fiction inspirée par l'histoire du Fhar (Front homosexuel d'action révolutionnaire), mouvement militant des années 70. »

Festival du Film G&L de Paris, october 2005
« Ma Saison Super 8 est librement inspiré de l'histoire du FHAR, le Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire, et dédié à ses deux leaders, Guy Hocquenghem et Françoise d’Eaubonne. Un premier long-métrage dont les accents nostalgiques font écho aux combats d’aujourd’hui, porté par de jeunes comédiens inspirés. Un film à ne pas rater. »

LE NOUVEL OBSERVATEUR, GRAND CRU, october 2005
« A voir absolument : (…) Ma saison super-8, d’Alessandro Avellis, autre comédie futée et rigolote sur les mouvements féministes et homosexuels d’après Mai-68. »

ZURBAN, ECRAN ROSE, Olivier Parot, october 2005
« Le coup de cœur de David (le programmateur du festival) va à Ma saison super 8, une fiction librement inspirée de la naissance du FHAR (Front homosexuel d’Action révolutionnaire) qui permet de mettre en perspective les combats homos et féministes actuels et de réaffirmer leur importance. »

TETU, Louis Maury, october 2005
« Ma saison Super 8 Difficile de résister au charme atypique de ce film qui raconte de façon très libre l'histoire du FHAR, le Front Homosexuel d'Action Révolutionnaire. Alessandro Avellis situe son histoire dans les années 68-72 où de jeunes gens font l'apprentissage de leur identité et du combat qui mène à sa reconnaissance. Remarquablement bien joué, étonnamment bien reconstitué sans le poids balourd de l'hommage poussiéreux, ce film à la fois politique et ludique réussit un étonnant équilibre. Et revient sur des luttes que personne ne devrait juger préhistoriques… »

ECRAN NOIR.FR, Ma saison super 8 ***, october 2005
« Paris. 1968-1972. "Ne pas se présenter en victime mais agir". Ils sont jeunes, beaux, homos et croient au marxisme. Elles veulent s'affranchir et militent pour le droit à disposer de leur propre corps, qu'elles soient hétéro ou lesbiennes. C'est ensemble que commencera leur combat contre les codes normatifs. Légèreté des seventies, coups de gueule, mutations politiques, vie communautaire, féminisme, berceaux idéologiques. Le tout face aux inexorables limites de l'époque… Retour aux sources. »

ILLICO, XIè édition du Festival de Films Gay : back to the future ?, Didier Roth-Bettoni et Tim Madesclaire, october 2005
« Et si le présent du cinéma gay, c’était de se pencher sur son passé ? C’est en tout cas la tendance de fond de ce Festival 2005 où l’on assiste à un saisissant revival seventies. Hommages à des figures d’époque ou nouveautés tentées par le retour en arrière, le mouvement gay semble vouloir se ressourcer à son âge d’or.
Il flotte comme un parfum de nostalgie sur cette onzième édition du Festival. Nostalgie d’un certain cinéma peut-être, libre, inventif, foutraque, sexy. Nostalgie d’une certaine utopie aussi, tant politique que sexuelle, d’un temps, les années 70, où l’homosexualité se voulait révolutionnaire et espérait prendre sa part dans la transformation du monde et de la société. Nostalgie d’une époque donc, pas si lointaine (trente ans à peine) et pourtant si éloignée si l’on se risque au jeu des comparaisons. Ce vague à l’âme inconscient (?) semble avoir saisi l’ensemble de la programmation du Festival. (…) Mais c’est une autre paire de manches que des fictions contemporaines choisissent comme cadre les années post 68 (l’épatant Ma saison Super 8 de Alessandro Avellis). »
TOUS NOUVEAUX, TOUS BEAUX ?
« Quant au cinéma français, il est représenté, côté filles, par "Oublier Cheyenne" et, côté garçons, par Ma saison Super 8, deux films qui traficotent avec les seventies. (…) le charme du second film est bien plus palpable. Car Alessandro Avellis a choisi de situer dans les années 68-72 son histoire de jeunes gens faisant l’apprentissage de leur identité et du combat qui mène à sa reconnaissance. A cet égard, la reconstitution de la fameuse émission radio de Ménie Grégoire sur "l’homosexualité ce douloureux problème" vaut à elle seule le détour. »

Compte-rendu du Festival,
www.ffglp.net
« Le Festival de Films Gays & Lesbiens de Paris s’est achevé dimanche 23 octobre au Forum des images. Il a rassemblé cette année 11 000 spectateurs-trices, qui ont ainsi pu découvrir de nouveaux talents (…) The D Word et Ma Saison super 8 de Alessandro Avellis ont été des révélations. »

GUS MAGAZINE, Hugues Demeusy, december 2005
« (…) Et pourtant, ce petit joyau aurait bien pu ne jamais voir le jour, sans l’acharnement d’un jeune italien, Alessandro Avellis, 30 ans. Jeune réalisateur intègre et passionné, il n’a d’autres ambitions que de nourrir notre réflexion, quitte à faire passer les enjeux commerciaux au deuxième plan ! Né dans le sud de l’Italie, élevé dans le culte du 7ème art, et passionné par le cinéma d’auteur français, il s’est installé à Paris à la fin des années 90 où il a réalisé quelques courts-métrages. (…) Le film a été tourné en 9 jours, à un rythme de folie (les images de manifestations et les scènes qui se déroulent en mai 68, ont été filmées en Super 8. Elles ressemblent à s’y méprendre à des archives d’époque). Le résultat est étonnement frais, poétique, libre, tout en délivrant un message historique grâce au jeu sans concessions des acteurs et à la mise en scène impeccable d‘Alessandro. »

PREF MAG, David Dibilio, march 2006
« Paris, début des années 70. Après l’échec de son comité pédérastique dans la Sorbonne occupée de mai 68, Marc, un jeune étudiant, vit tant bien que mal sa condition d’homosexuel. Julie, sa meilleure amie, s’implique de plus en plus dans la cause féministe et cherche à nouer le dialogue avec la classe ouvrière… Ne pas se laisser effrayer par un sujet à priori « rébarbatif ». Ma Saison Super 8 est une relecture de la naissance des mouvements féministes et homosexuels du début des années 70, deux mouvements qui avaient un ennemi commun : l’hétéro-flic ! Une relecture donc, par quelqu’un qui n’était pas né à l’époque du FHAR et qui prend la liberté de rêver, de fantasmer et de sourire d’un temps que les moins de quarante ans… Assez bien documenté (voir la reconstitution très réussie de l’émission radio de Ménie Grégoire sur "l’homosexualité ce douloureux problème"), le film d’Alessandro Avellis met en scène une bande de jeunes comédiens aussi jolis qu’inspirés. Tourné sans aucun moyen, mais avec une vraie envie de cinéma et une énergie communicative, Ma Saison Super 8 est un petit bijou à découvrir absolument, un film sans prétention mais qui fait mouche et qui est aussi un émouvant hommage à Guy Hocquenghem et Françoise d’Eaubonne. »

COMMEAUCINEMA.COM, march 2006
« N'ayant pas ou peu d'images d'archives sur la création du Front Homosexuel d'Action Révolutionnaire, Ma Saison Super 8 comblera un certain vide pour retracer l'aventure audacieuse de jeunes homosexuels au début des années 70. »

TETU, april 2006
« Librement inspiré de la naissance du FHAR, Ma Saison Super 8 revient sur ces fameuses années 70 qui virent des féministes lesbiennes et des activistes gay unifier leur combat contre la discrimination sexuelle. Le film résonne avec d’autant plus d’actualité qu’il est interprété par de jeunes comédiens sexy et prometteurs. Un bon moyen de fêter dignement les 35 ans du FHAR avec en bonus dans le DVD le making-of du film et des interviews de militants. »

VUESDENFACE.COM, april 2006
« Avec tendresse et légèreté, Ma Saison Super 8 veut faire (re)vivre les années 70 qui marqueront le début d’une inoubliable aventure politique et sexuelle dont nous sommes issus, d’une certaine manière. »

OXIDO MAGAZINE, may 2006
« Deux ans après Mai 68 le constat est amer : la révolution n’a pas eu lieu. L’énergie déployée à refuser l’ordre établi et questionner la norme est retombée comme un soufflé de plomb, écrasant au passage la condition des femmes et des pédés. Une émission de radio présentant un débat intitulé « homosexualité, ce douloureux problème » provoquera l’indignation de femmes et d’hommes qui vont s’unir pour mener ensemble un combat contre une société répressive. (…) ce film arrive à point nommé pour rappeler aux séparatistes gays/lesbiennes que les combats se gagnent dans l’union. »

LESBIAMAG, april/may 2006
« A l’occasion des 35 ans de la création du FHAR, Alessandro Avellis a écrit et réalisé un film qui tente d’en restituer l’histoire. Voilà un docu-fiction très habile (...) Un tel film eut pu être d’un ennui mortel, or tout en restant dans la vérité historique il nous surprend, nous amuse, nous charme et nous questionne. Une belle réussite qui pour certaines leur fera réviser l’Histoire et pour les plus jeunes leur apprendra une période exceptionnelle où les interdits et les audaces les surprendront. (...) Un excellent moment assuré et une œuvre de transmission nécessaire. Toute la presse est unanime. »

ATKOLVIDEO.COM, october 2006
« The other recent find for me is Ma Saison super 8 by Alessandro Avellis. This is an amazing film, made with very little money, that attempts to chronicle the advent of gay liberation in France, after the May 1968 students' uprising and general strike. (...) All this seems rather strange, and it is, but it's extremely touching and convincing, thanks in particular to the three very sexy male leads, who look strangely similar and are perfect for this period piece. The key moment is when Marc films André lying naked in bed. This is an explicit homage to Lionel Soukaz, radical gay underground filmmaker since the early seventies. It is a magical moment because of the editing of shots from the super 8 camera with those from the regular one. The complete innocence of what is in effect the invention of gay pornography this side of the Atlantic is deeply affecting. »

IMAGE+NATION, Montréal GLBT film festival, november 2006
« Ma Saison Super 8 constitue un témoignage émouvant d’un moment important de l’histoire française contemporaine. »

ALTERHEROS (Québec), Ma saison super8 : un tableau historique touchant, Hugo Ducharme, november 2006
« À la fin des années soixante début soixante-dix, on suit l'évolution d'un jeune gai et d'une militante féministe, sa meilleure amie, dans une France en pleine effervescence. Parallèlement à leur histoire, nous découvrons avec un plaisir certain le début du militantisme LGBT, l'intolérance de l'extrême gauche et de la population sur une réalité encore alors méconnue. Et l'évolution du film nous montre bien aussi l'évolution des mentalités de la jeunesse française de l'époque qui passe du militantisme d'extrême gauche anti-bourgeois à la libération sexuelle.
Le sujet est traité avec beaucoup de sensibilité par le réalisateur qui a su nous montrer les hauts et les bas de la vie de ces deux jeunes gens sans tomber dans le mélodrame. La mise en scène est juste, les décors et les costumes sont des plus réalistes. Les gens qui ont flirté avec les milieux d'extrême gauche y reconnaîtront entièrement l'ambiance de ces réunions politiques où l'on prêche des slogans à des convaincus. Le jeu des acteurs est bien maîtrisé, les émotions sont justes et senties. Rien ne sonne faux et on ne va pas dans les débordements.
L'utilisation d'une caméra Super8 pour la captation de certaines images (ou l'imitation de ce type de captation) est ici utilisée de façon novatrice. C'est bien réussi, direction photo impeccable qui transmet bien l'ambiance du film. Prenez le temps de vous déplacer pour voir ce film qui est à la frontière entre le documentaire et la fiction sans avoir l'air d'un film du type ‘fait vécu’. À voir absolument! »

L’homosexualité au cinéma, Didier Roth-Bettoni, Editions La Musardine - Paris, 2007
« Il a fallu lutter pour conquérir ce droit (les années post-68 et les premiers mouvements militants homos et féministes tels que les ressuscite avec attendrissement Alessandro Avellis dans son pertinent Ma saison Super 8, 2005)... »

NewFest, New York LGBT film festival, mai/juin 2007
« Freely inspired by historical events, My Super 8 season recounts the birth of modern French gay identity. »


New York cool, Alessandro Avellis’ My Super 8 Season 2007 Newfest
Reviewed by Julia Sirmons
« To everything there is a season. But when you’re a student in Paris in 1968, when the spirit of change and upheaval wafts through the air like the scent of fresh-bake baguettes, and the possibility of revolution and freedom seems just beyond the horizon, a season can last an eternity or fly by before you even know what’s happened. This spirit of perpetual anticipation and the confusion that accompanies it is captured perfectly in Alessandro Avellis’ My Super 8 Season (Ma Saison Super 8), a beautiful and poignant film about coming of age in a time of massive cultural change.
The twin legs of the film’s moral and emotional compass are Marc (Axel Philippon) and Julie (Célia Pilastre), moving closer and farther away from each other during various periods, but always firmly attached by the bond of their friendship. Marc, a student struggling with his thesis about undertones of homosexuality in Shakespearean tragedies, moves in with Julie when his straight-laced ex-cop father kicks him out after having to bail Marc out of his old precinct when he’s arrested for an act of public (man-on-man) lewdness on the banks of the Seine.
Meanwhile, Julie’s got problems of her own. Her boyfriend’s parents think she’s distracting him from his studies, so they’re shipping him off to study abroad in England. On top of this distress, she’s having a bit of an existential crisis, as her ardent youthful passion for her guy doesn’t seem to jive with her immersion in Marxism and radical feminism. “I guess my sex doesn’t agree with my politics,” she sighs in a moment of post-coital bliss and mental confusion. Never have the seriocomic melodramas of student life and love been more aptly summed up.
Marc’s romantic life takes an interesting turn when he becomes involved with a working-class trick who moves in with him, but is determined to save face by marrying and having kids one day. The film’s title refers to Marc’s habit of recording little moments of his life with his Super 8 camera. One of the film’s most poignant moments comes when, in the middle of the night, Marc runs his lens over his lover’s body, lingering over his favourite spots, knowing that this bliss is too sweet to last.
All this personal drama is set against a backdrop of political and cultural upheaval. A major coup is gained after student protests force the university to give Marc and Julie’s Marxist/feminist/gay rights group a room to host weekly meetings. In this sequence, Avellis perfectly documents the meeting’s inevitable devolution from unified passion to hook-up spot to nastily cliquey sects.
When her boyfriend doesn’t answer her letters, Julie gets more deeply involved with a radical feminist commune, eventually moving in with them and begins a romantic relationship with its leader. At first, the feminists are arm in arm with their gayboy comrades, but they eventually decide they don’t want to be tainted by any male presence, and Marc and Julie’s friendship suffers as a result.
Of all the many aspects of political and personal student life that Super 8, the vacillations in Marc and Julie’s relationship is the most touching and engaging. In a world where so many media portrayals of friendships between gay men and straight (or bicurious) women are based on caricatures and stereotypes, here is a depiction of a unique relationship that is refreshingly honest and real. Philippon and Pilastre have a wonderful natural chemistry, and there are lots of subtly painful moments where they inertly allow the tides of politics to sweep them apart, as well as happy ones when they’re snuggling on the couch, commiserating over romantic and political disappointments.
The only flub in this otherwise lovely little film is Avellis’s decision to randomly switch from colour to black-and-white stock at random moments toward the end of the film. There seems to be no stylistic or thematic reason for it; the first time it happened I thought it was because the production had run out of money. It seems impossible to make a film set in Paris in 1968 without somehow referencing Jean-Luc Godard, but this gimmick just feels like a lesser artist copying a great master’s work; it looks the same, but there’s none of the passion or intellectual ferocity.
But just like his characters, we can forgive Avellis for flying letting his lofty ideals bring him too close to the sun now and then. After all, their wings have already taken them to such great heights. »

Chicago Reeling Film Festival, october 2007
« This is a beautifully photographed narrative, and, just like the era it depicts, brims with hope at times, and reels from confusion at others. »

DOASKDOTELL MOVIE REVIEW of The Dreamers, october 2007
« A “ones complement” to the Bertolucci film is a My Super 8 Season (“Ma Saison Super 8,” 2005, Du Contraire / Antiprod, dir. Alessandro Avellis, France, 71 min, sug NC-17) traces the “left wing” in France starting with the 1968 protests above, all the way into the 1970s, as a docudrama involving several characters. There is Marc (Axel Philippon) jump starting a gay rights movement while his platonic female friend Julie (Celia Pilastre) pushes worker’s rights. Marc angers his father, a cop, involved in a bust with a factory worker Andre, who claims to be straight but becomes attracted to Marc. Though the relationships roughly parallel those of the Bertolucci film, the pace is much faster and, even with the explicit nude scenes, the movie loses the tension that the Bertolucci film developed with this subject matter. In the film’s middle, there are interesting ideological discussions about how gays fit in to the people’s and women’s movements; there are some objections to gays even on the left, and odd discussions about the idea that male homosexuality fan reinforce stereotypes about “virility.” In fact, as the year’s progress, Marc appears more “mature” physically, although there is a problem that the characters tend to look and act too much alike, a problem within far left movements. The title of the film refers to Andre’s habit of shooting Super 8 videos (with 70s technology) of sex scenes, that look even too grainy for “Deep Throat.” »

MIX BRASIL Festival, Meus Tempos de Super 8, november 2007
« Um dos filmes mais românticos da programação deste ano, o longa do francês Alessandro Avellis é uma viagem no tempo cheia de paixão, ideologia e vontade de mudar o mundo.
O filme tem a mesma ambientação histórico-sensual de “Os Sonhadores”, de Bernardo Bertolucci, mas é mais liberal. É em pura estética super 8 e com câmera na mão que o jovem e estreante cineasta Alessandro Avellis viaja até a Paris do início dos anos 70. Depois de uma tentativa fracassada de criar um comitê homossexual de estudantes na Sorbonne, que acabou em orgia, Marc enfrenta problemas em lidar com sua própria sexualidade. Enquanto isso, Julie, sua melhor amiga, envolve-se cada vez mais na luta de classes e pela causa feminista. Os dois amigos se libertarão pela união de dois movimentos: o dos direitos do homossexual e o da mulher. Um programa de rádio desencadeia de vez as paixões e dá início a uma aventura política e sexual. Avellis inspirou-se livremente na história da FHAR (Frente de Ação Revolucionária Homossexual) e dedica o filme aos seus líderes, Guy Hocquenghem e Françoise d’Eaubonne. »

MELBOURNE QUEER FILM FESTIVAL, My Super 8 Season, march 2008
« The 1968 student riots in Paris provide the backdrop for a friendship between two dreamy young activists in this engaging and original French feature. Julie and Marc are enthusiastic and sprightly intelligentsia with the world at their feet. Julie separates from her partner Stéphane and moves into a women’s refuge where she takes up the fight for feminism and lesbian rights. Meanwhile, Marc motivates others to fight for gay rights. While at home he argues with his working class Dad, and he fights for his love with a young factory worker, Andrew, who has a reputation around the beats of Paris and is always finding disaster. On the cusp of the 1970s, the direct action grows, the sexual politics become more difficult and youth fades to adulthood. Alessandro Avellis’ brilliant and sexy debut is inspired by the true story of FHAR - the Homosexual Revolutionary Front and its pioneers Guy Hocquenghem and Francoise d’Eaubonne. »

LONDON INT’L LGBT FILM FESTIVAL, My Super 8 Season, march 2008
« This is a refreshing account of a youthful gay activist Marc caught up in the events of May 1968. When he is confronted by the realities of a young worker unable to come out at work, his politics and his life begin to collide. He is swept into political engagement, and the film brilliantly conveys the bold ambitions of left wing activism in the period which led to the creation of the French version of the Gay Liberation Front (FHAR). This is an insightful, invigorating and emotionally authentic recreation of the challenges of feminism and gay politics at the dawn of modern gay life. It is a great achievement which belies a meagre budget and a shooting schedule of days rather than weeks."

OUTFEST LOS ANGELES, My Super 8 Season, july 2008
"Forty years after France’s tumultuous May 1968, MY SUPER 8 SEASON (MA SAISON SUPER 8) puts queer characters front and center in that era’s social revolution. Marc balances gay politics and his love affair with a gorgeous factory worker while Julie redefines herself in a lesbian commune. Filled with the type of young, sexy and intellectually-charged characters Godard would love, the film brilliantly balances the personal and the political against a backdrop of social change. "

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